Accueill

L’Association Littéraire et Artistique Internationale Roumaine a été créée à l’initiative d’enseignants et de chercheurs dans le domaine des droits intellectuels des universités de Bucarest, Constanța, Craiova, Cluj-Napoca, Iași, Sibiu, Târgu Mureș, Timișoara et Târgoviște, conformément à l’Acte Constitutif et au Statut et a été enregistrée, sous le nom, ASOCIAȚIA ALAI ROMANIA, dans le Registre des associations et des fondations Partie A, Section I, conservé au greffe du Tribunal du Secteur 3 de Bucarest, en vertu de la Conclusion n° 446 du 24.11.2021, définitive par non-appel, le 14.12.2021.

L’ALAI Romania est membre de l’Association Littéraire et Artistique Internationale (ALAI Int.) conformément aux dispositions de l’article 6, paragraphe (2) de son statut qui stipule que « toutes les personnes physiques ou morales membres d’une association nationale ayant un objet d’activité similaire et qui a été agréé par le Comité Exécutif, dénommée Groupe (nationalité) ALAI sont membres de l’ALAI Int.».

Par conséquent, les membres de Asociația ALAI Romania sont membres de l’ALAI Int., ayant tous les droits et obligations découlant de leurs statuts.

Le siège de Asociația ALAI Roumanie est à Bucarest, à S.C.A. « Roș și Asociații » (voir rubrique Contact).

Pourquoi ALAI Roumanie

La plus indiscutable, la plus personnelle (au sens de prolongement de l’auteur dans son œuvre et du lien de l’auteur avec son œuvre), la plus sacrée et la plus légitime de toutes les propriétés est celle des « fruits » de la pensée, de ce que les gens eux-mêmes créent à partir de rien en ajoutant à ce qui existe dans le monde environnant, c’est la propriété des produits de l’activité intellectuelle, des biens intellectuels protégés par le droit d’auteur et/ou les droits voisins. Une propriété qui a trouvé difficilement sa place parmi les protégées, une propriété d’un genre particulier (même les conservateurs civils les plus purs l’admettent), une propriété pour laquelle il n’y a pas d’autre mode d’acquisition que le fait de la création et pour laquelle le rôle acquisitif de la possession est exclu et l’occupation éventuelle de l’œuvre d’autrui, que son auteur soit connu ou non et même lorsque l’œuvre a été abandonné ou serait tombé dans le domaine public, ne vaut que contrefaçon, plagiat, piratage.

La protection légale de la propriété intellectuelle, les vertus et qualités que nous y attribuons et/ou reconnaissons, ne signifient pas qu’elle n’est pas encore une inconnue pour certains (beaucoup), ignorée par d’autres (beaucoup d’entre eux, certains d’entre eux même créateurs), qu’elle n’a pas d’adversaires (ils ne sont pas rares ceux à réclamer avec plus ou moins de véhémence son abrogation ou son remplacement par un simple droit à rémunération) ni qu’elle est respectée, car la vie prouve que la propriété

intellectuelle attire à la fois, à des fins indignes, éduqués et non éduqués, bien informés et ignorants, de sorte qu’elle est la plus violée, la plus usurpée, la plus utilisée par des tiers sans droit afin d’obtenir des mérites immérités et / ou des gains importants avec des risques minimes.

Etant immatérielles et pouvant circuler à la vitesse de la pensée/lumière, les créations intellectuelles sont indifférentes aux frontières territoriales et entre lesquelles elles sont protégées par les lois nationales, sont omniprésentes au plus haut degré car elles sont accessibles à toute personne disposant des moyens techniques adéquats et (presque) où qu’elles se trouvent, elles sont facilement reproductibles en quantités illimitées et d’une manière qui fait qu’il n’y a pratiquement pas de différences entre les produits piratés et originaux ou qu’ils sont difficilement détectables. Et les technologies modernes de reproduction, de stockage et de communication rendent impossible (ou du moins difficile) le contrôle de l’utilisation effective des œuvres.

Les qualités que possèdent les objets de propriété intellectuelle et qui sont également des défauts parce qu’elles les rendent extrêmement vulnérables, l’attrait exercé pour une utilisation non autorisée et les technologies modernes de fixation, de reproduction, de stockage et de communication rendent les « objets » de propriété intellectuelle difficiles à protéger par les moyens techniques et juridiques dont nous disposons, la seule protection efficace étant celle du respect des droits des créateurs sur leurs œuvres. Et cela signifie éducation, connaissance, adaptation des lois aux nouvelles technologies, adaptation à la création et à l’utilisation des créations des autres à l’aide des nouvelles technologies, et (surtout) respect des droits de ceux qui ont travaillé à les créer.

L’éducation est nécessaire et nous n’avons pas encore réalisé que notre éducation, avant tout, commence par l’imitation et que nous continuons à imiter même lorsque nous prétendons être des créateurs. Nous avons besoin de connaissances et notre appartenance à l’ALAI nous donne la chance d’approfondir nos connaissances, nous donne l’opportunité de nous affirmer dans le monde des droits intellectuels, nous donne l’opportunité de contacter et d’échanger avec des spécialistes du monde entier. De plus en plus de spécialistes bien formés sont nécessaires car le 21ème siècle est (déjà) le domaine de la propriété intellectuelle. Il faut apprendre à tous nos semblables, créateurs comme utilisateurs (car il n’y a pas aujourd’hui de gens à qui les créations intellectuelles sont étrangères), les éduquer, les sensibiliser à la valeur de la création intellectuelle et de ses résultats, et à la nécessité pour le respect des droits nés de la création.

Rechercher, connaître, savoir, identifier les carences dans les lois et leurs violations, proposer la correction des lois et leur adaptation aux besoins de notre temps (marqué couramment par les nouvelles technologies de création, stockage, reproduction et communication, aussi bien que par l’intelligence artificielle, le miracle qui nous enchante et nous effraye au même temps), répandre la connaissance, se faire connaître ! C’est ce que nous désirons, c’est ce que nous avons l’intention de faire !

L’étude des lois et de la jurisprudence nationale et internationale, études de droit comparé, conférences nationales et internationales, des débats sur des questions peu claires ou controversées pour les clarifier, des ouvrages écrits et publiés, des opinions scientifiques à la demande des parties intéressées, la collaboration avec les organismes chargés avec la légifération et / ou la protection des droits, avec des organismes internationaux, avec des universités et entités menant des activités de recherche, l’éducation pour la connaissance et le respect des droits, éducation anti plagiat, mais aussi éducation anti plagiomanie, récompenser les méritants, tels sont nos principaux objectifs dans le domaine de la recherche des droits intellectuels.

Si vous désirez, vous pouvez toujours écrire et publier vos matériaux dans la Revue Roumaine du Droit de la Propriété Intellectuelle, indexée dans des bases de données internationales des plus importantes et qui, par la contribution des membres de l’ALAI deviendra, sans doute, plus valeureuse du point de vue du contenu et plus appréciée par ses lecteurs.